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Les cramés de la bobine
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15,5 x 24 cm, broché 

248 pages

Parution : février 2008

 

prix : 18.00 €
Au cours d’une déambulation aléatoire mais inspirée dans les arcanes de la création cinématographique, le cramé de la bobine a pour objectif, plutôt que de noyer ses lecteurs sous un flot de révélations, de leur transmettre sa flamme en les persuadant que le cinéma, plus qu’un divertissement occasionnel ou une machine à rêver, leur permet de mieux appréhender la réalité du monde extérieur par empathie pour les personnages de fiction auxquels on aime à s’identifier.

Dix ans après Le voyageur immobile (1998), cinéphile contemplatif qui faisait cavalier seul, Les cramés de la bobine, élite allumée et érudite, militent pour une passion du cinéma communicative ou contagieuse.
Plus isolé que ses confrères parisiens dans sa sous-préfecture gâtinaise, le cramé du chef-lieu n’en a pas moins pour objectif de communier avec la foule des fidèles dans le culte du septième art. Car la magie du grand écran est tellement plus captivante que la consommation passive sur petit écran d’une cassette téléformatée ou d’un DVD !
Il faut donc prendre ce modeste ouvrage, au-delà de ses marottes statistiques ou d’un certain délire schizophrénique, comme un petit guide prospectif sinon exhaustif à l’intérieur d’un art majeur qui se révèle à la fois un catalyseur d’émotions et un vecteur de réflexions tous azimuts...
Au bout du rouleau des bobines de sa vie, le cramé en fin de parcours ne se pose plus la question : « combien d’années me reste-t-il à vivre ? » Mais bien plutôt : « combien de films me reste-t-il à voir ? »

Le mérite principal du livre, outre le pur agrément qu’en fournit la lecture - quelle plume ! -, est de proposer une armature à ceux dont la cinéphilie demeurerait erratique.
Michel Marmin (Éléments)

Duval a frappé fort... En dix-huit chapitres vigoureusement troussés, cet amant du grand écran nous convie à une aventure passionnelle inédite, nous les "renégats", les "spectateurs occasionnels", les "intermittents du cinoche".
Daniel Plaisance (L’Éclaireur du Gâtinais)

Le témoignage d’un passionné qui donne envie d’aimer le cinéma comme lui, encore plus que la vie. Charlotte Robinet (La République du Centre)